Le carrelage au carré : introduction à la notion d’aire par la manipulation
Parfois, il ne faut pas chercher trop loin. Presque tout autour de nous peut servir de point de départ à un apprentissage mathématique, et ce, par l’entremise du jeu Le Jeu avec un grand J est le meilleur ami des enfants !
Ce qui m’amène à vous parler de l’activité d’aujourd’hui : recouvrir le plancher de la maison de poupée, du château de princesse, du garage ou caserne de pompier ou de tout autres jouets ayant une surface permettant de calculer l’aire par l’entremise de tuiles ! Le but pédagogique sous-jacent est d’introduire aux enfants à la notion d’aire tout en manipulant et expérimentant de manière concrète la notion de surface.
Donc, vous aurez besoin de tuiles de Styromousse ou de carreaux de céramique murale pour faire l’activité. Mes tuiles de Styromousse mesurent 1,5 cm par 1,5 cm, mais la dimension importe peu. Les enfants doivent recouvrir le plancher ou la surface en alignant les tuiles.
Avec une activité aussi simple que recouvrir le plancher, les enfants auront exercé leur dextérité fine, la coordination main-oeil, les suites, sa numération de 1 à 50 et vous aurez introduit les enfants au langage mathématique de l’aire. Je vous invite également à aller visiter mon blogue personnel à :
Par Caroline Boisvert
Documents joints
Cette planification permet de développer des stratégies pour apprendre à mesurer adéquatement. L’élève pourra acquérir le concept de hauteur et de longueur tout en utilisant l’unité de mesure mètre et centimètre.
Par Éliane Cloutier Côté
Activités sur la mesure
Documents joints
Voici une activité élaborée à partir du thème de l’Halloween qui aborde le concept de la mesure pour des élèves de première année. Le fichier comprend une mise en situation sous forme d’histoire. Les élèves peuvent utiliser du matériel comme de la ficelle, une gomme à effacer, un trombone ou leur doigt afin d’arriver à la réponse. Il est intéressant de faire reproduire la feuille d’activité en gros lors du retour en grand groupe.
Par Marie-Ève Simard